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Faut-il dire à mon manager que je n’aime plus mon job ?

Dire à son manager qu’on n’aime plus son travail est une question délicate. Faut-il se taire et chercher en silence, ou parler et risquer des conséquences ? Cet article explore les différentes situations possibles : lassitude passagère, perte de sens, conflits de valeurs ou d’évolution, et propose des pistes pour prendre la parole avec discernement. Tout l’enjeu est de choisir le bon moment, la bonne manière… et d’avoir un projet clair. Un guide utile pour toutes celles et ceux qui hésitent entre transparence et prudence.

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L'escalier du succès

Introduction

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Ce n’est pas un détail. Ce n’est pas juste une période de fatigue. C’est un constat qui vous accompagne depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois : vous n’aimez plus votre job. Et cette question revient, lancinante : faut-il en parler à votre manager ?

Voici un tour d’horizon des cas de figure, des risques et des opportunités, pour vous aider à prendre une décision éclairée, sans idéaliser, ni dramatiser.

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1. Comprendre d’où vient le malaise

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Un désintérêt diffus ou un désalignement profond ?

Avant d’ouvrir la discussion, encore faut-il comprendre ce que vous vivez. Est-ce un désengagement lié à la fatigue ou une remise en question de fond ? Est-ce que vous n’aimez plus ce que vous faites, ou bien l’environnement dans lequel vous le faites ?

Par exemple : si vous êtes frustré par le manque de reconnaissance ou la lourdeur des processus internes, le problème est peut-être localisé. Si, en revanche, vous ne vous sentez plus en phase avec la mission de l’entreprise ou le sens de votre travail, le malaise est plus structurel.

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Identifier si la situation est temporaire ou durable

Un changement de direction, une nouvelle équipe, un projet mal vécu peuvent générer un rejet passager. Avant d’en parler, il peut être utile de laisser passer quelques semaines, pour voir si l’émotion se stabilise ou s’aggrave.

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En résumé : parler à son manager demande une certaine clarté sur ce que l’on vit. MPO propose justement des outils pour structurer cette prise de recul, avec une plateforme d’auto-analyse et de coaching personnalisé.

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2. Évaluer les risques avant de parler

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Vous êtes dans une organisation bienveillante

Si votre entreprise valorise le dialogue, si votre manager vous a déjà donné des signes d’écoute et d’ouverture, alors une conversation sincère peut ouvrir des portes. Il est même possible qu’elle permette d’initier une évolution interne (mobilité, ajustement de missions, changement de rythme).

Mais il faut cadrer cette discussion : ne pas arriver avec une critique frontale ou un malaise flou. Exprimez un besoin clair, une volonté de rester constructif, et idéalement, quelques pistes.

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Vous êtes dans une structure peu ouverte

Dans certaines entreprises, avouer son désintérêt est risqué. Cela peut être vu comme un signe de désengagement, voire une « trahison ». Dans ce cas, mieux vaut avancer avec prudence.

Une alternative : tester une reformulation plus neutre (« j’ai besoin de redonner du sens à mon travail », « j’aimerais explorer d’autres responsabilités »). Cela permet d’amorcer la discussion sans se mettre en difficulté.

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MPO aide les collaborateurs à formuler leur message, à choisir le bon timing et à envisager des scénarios alternatifs, en interne ou en externe.

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3. Que peut vous apporter cette discussion ?

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Une opportunité de vous repositionner

Si vous êtes encore engagé dans l’entreprise mais que votre poste ne vous convient plus, parler à votre manager peut être une vraie chance. Beaucoup d’opportunités internes se créent quand quelqu’un ose verbaliser une envie de bouger.

Un exemple : Thomas, chef de projet depuis 5 ans, sentait une lassitude grandissante. Il a expliqué à son N+1 qu’il se voyait davantage dans une mission de formation interne. Six mois plus tard, il a pris en charge l’onboarding de tous les nouveaux collaborateurs.

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Une clarification de votre avenir

Parfois, cette discussion permet simplement de mettre au clair que rien ne changera. Et c’est une information précieuse. Cela vous libère pour réfléchir à d’autres options, sans rester dans une attente passive.

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Avec MPO, chaque étape de cette réflexion est accompagnée par un coach dédié et une plateforme digitale qui permet de tester des pistes concrètes avant d’agir.

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3 phases pour prendre confiance et accélérer ma transition

1

Je prends en main les outils MPO pour construire mon employabilité.

Évoluer avec les outils digitaux...
C'est 100% autonome !

2

Je choisis le coach qui m'accompagnera dans mon cheminenement.

Progresser sous le regard du coach...
C'est 100% personnalisé !

3

Je m’enrichis d’interactions inspirantes pour définir mon projet.

Prendre confiance par les échanges...
C'est 100% efficace !

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4. Comment préparer l’échange avec votre manager

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Choisir le bon moment

Pas entre deux réunions. Pas au pire moment d’un projet en tension. Il faut un temps calme, cadré, idéalement planifié (« j’aimerais te parler de ma trajectoire professionnelle »).

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Structurer son discours

  • Commencer par exprimer votre attachement à l’entreprise ou au travail accompli.
  • Expliquer ce que vous ressentez de manière factuelle (ennui, perte de sens, besoin de nouveauté…)
  • Proposer des pistes concrètes (formation, nouvelle mission, mise au vert…)

L’objectif n’est pas de se plaindre, mais de faire émerger une dynamique constructive.

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MPO fournit des trames de discussion et des coachs pour préparer ce type de moment clé.

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5. Et si vous décidez de ne rien dire ?

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Avancer en silence

Dans certains cas, il est plus sage de garder pour vous ce désamour. Surtout si vous êtes déjà en réflexion avancée, si vous cherchez ailleurs, ou si vous sentez que parler ne ferait qu’envenimer la situation.

Mais ne restez pas seul avec ce que vous vivez. Faites-vous accompagner, posez un cadre pour votre projet de sortie, et donnez-vous une deadline.

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MPO permet justement d’initier ces transitions de façon confidentielle, à votre rythme, sans perturber inutilement votre environnement professionnel.

Parler ou ne pas parler, ce n’est pas une question de courage. C’est une stratégie à construire. Et chaque cas est unique.

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22/04/2025

Alexis

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